La nécropole de HL29 (Halin, Myanmar), premières interprétations chronoculturelles

The cemetery of HL29 (Halin, Myanmar), first chronocultural interpretations

RESUME / ABSTRACT

Cet article se propose de présenter les fouilles conduites en 2017 et 2018 sur la nécropole de HL29 à Halin au Myanmar (ancienne Birmanie). L’observation des modes de dépôts des défunts, de l'orientation des sépultures et du mobilier associé a permis de distinguer trois épisodes d’inhumations et potentiellement quatre correspondant à trois périodes distinctes. La comparaison de ces résultats permet de placer ces pratiques funéraires et cette nécropole dans le paysage archéologique du Myanmar.

This article presents the excavations carried out in 2017 and 2018 on the cemetery of HL29 at Halin in Myanmar (ancient Burma). The observation of the modes of the deposition of the deceased, their orientations and the grave goods associated with them allowed us to distinguish 3 burial episodes and possibly 4 corresponding to 3 distinct periods. The comparison of these results makes it possible to place these funerary practices and this cemetery in the archaeological landscape of Myanmar.

TEXTE INTEGRAL

Introduction

En Asie du Sud-Est continentale, le passage d’un mode de vie basé sur la chasse et la cueillette à la naissance de l’État s’est effectué dans un temps remarquablement court. Au Viêt Nam et au nord de la Thaïlande, les premières traces d’agriculture sont visibles à partir du début du 2e millénaire avant notre ère [1], tandis que la métallurgie du bronze apparaît aux environs du XIe siècle avant notre ère [2], suivie de celle du fer qui est simultanée au développement des proto-états au cours du V-IVe siècle avant notre ère [3]. Ces changements rapides proviennent en grande partie d’influences croisées entre l’Inde et la Chine au carrefour desquelles se situe le Myanmar (ancienne Birmanie), en particulier la région de Sagaing sur laquelle cette étude est centrée. L’analyse des sépultures de cette région offre une opportunité unique, celle de comparer directement les auteurs de ces changements culturels avec leur culture matérielle.

La fin de la préhistoire du Myanmar a fait l’objet d’une attention soutenue depuis les années 2000 avec la découverte en 1998 de la nécropole de Nyaung’gan [4-6], puis par la création par J-P. Pautreau et U Pauk Pauk de la Mission archéologique française au Myanmar (MAFM) qui entre 2001 et 2011 a exploré les cimetières de l’Âge du Fer de la vallée de la Samon [7,8] et qui, sous l’influence de son nouveau directeur, T.-O. Pryce depuis 2012, s’est déplacée plus au nord dans la région de Sagaing et a permis de dater et caractériser la transition du Néolithique à l’Âge du Bronze dans la zone de Nyaung’gan [9,10].

 Le site de Halin, au sud-est de la région de Sagaing, est principalement connu pour son ancienne cité Pyu (premiers états historiques du Myanmar), classée au patrimoine mondial de l’UNESCO. Mais présentant aussi une profondeur stratigraphique remarquable, il comprend plusieurs nécropoles allant du Néolithique jusqu’à nos jours. Ce site offre donc l’opportunité d’une étude diachronique des pratiques funéraires dans une même zone géographique alors que les données archéologiques du Myanmar présentent un caractère fortement fractionné, et de ce fait, demeurent largement distinctes. 

La fouille de la nécropole HL29 durant trois saisons par le département d’archéologie du Myanmar et par la Mission Archéologique Française au Myanmar (MAFM) a permis de mettre en évidence plusieurs niveaux d’inhumations successifs. Le but de cet article est de présenter un phasage des inhumations et d’examiner les relations possibles avec les données archéologiques disponibles actuellement au Myanmar afin de discerner une séquence archéologique commune.  

Présentation du site

Halin se situe à 50 km au nord de Mandalay et à 10 km à l’ouest des rives de l’Ayeyarwaddy qui traverse du nord au sud la partie centrale du Myanmar. Des fouilles réalisées en 2009 par le département d’archéologie du Myanmar sur la nécropole de HL29 ont permis la découverte de 51 inhumations datées par le mobilier de l’Âge du Bronze sur une surface fouillée d’environ 16 par 16 m soit 256 m² [11]. Cette fouille a ensuite fait l’objet d’un comblement partiel tandis qu’une partie a été conservée au sein d’un musée de site. L’existence de plusieurs niveaux d’inhumations représentant potentiellement plusieurs épisodes d’inhumations et plusieurs périodes a amené T. O. Pryce, directeur de la MAFM, à implanter un premier sondage (2017) de 4 x 8 m au nord des précédentes fouilles et un second (2018) de même taille, adjacent au nord. Les fouilles de ces deux sondages sur 3 m d’épaisseur ont permis de reconnaître 8 niveaux stratigraphiques dont 5 ont fourni des inhumations.

Au total 8 sépultures à crémations ont été découvertes et 36 sépultures à inhumations comportant un nombre minimal d’individus de 41. Parmi les sépultures à inhumations, les restes de 5 enfants, de 35 adultes et un individu d’âge indéterminé ont pu être distingué. La mauvaise conservation générale des ossements humains n’a permis que d’estimer le sexe pour 9 individus adultes, soit 3 femmes et 6 hommes. Les restes osseux très fragmentaires conservés dans les sépultures à crémations n’ont pas permis d’obtenir une estimation d’âge ni de sexe pour ces défunts.

Organisation de la nécropole

Les recoupements de sépultures sont fréquents, causant parfois la destruction de la tombe antérieure et des déplacements d’ossements. Les inhumations suivent généralement un axe nord-sud selon un axe compris entre 328° et 23° nord.

Fig.1 : Plan de la totalité des sépultures à inhumations fouillées en 2017 et 2018
Fig.1 : Plan de la totalité des sépultures à inhumations fouillées en 2017 et 2018.

Du fait des limites des sondages, l’orientation de 9 sépultures n’est pas distinguable. 3 groupes se distinguent : un groupe nord-sud qui comprend la majorité des inhumations (n=16), un deuxième qui suit une orientation nord-nord-ouest/sud-sud-est (n=10), et enfin une unique sépulture caractérisée par une orientation nord-nord-est/sud-sud-ouest. Les profondeurs des tombes sont très variables. Elles se répartissent entre 0,26 m et 2,05 m avec une profondeur moyenne de 0,82 m (sous le point de référence).

Les sépultures

Quatre modes de dépôt ont été identifiés. Des inhumations primaires individuelles en décubitus dorsal (sauf en B39 où l’individu reposait en décubitus ventral), tête vers le nord, membres inférieurs et supérieurs étendus. Ce traitement concerne la grande majorité des défunts. Un deuxième mode de traitement implique deux sépultures (B7 et B49) qui contenaient les restes de plusieurs individus sans connexion articulaire ni organisation spécifique. Le troisième correspond au dépôt d’un probable très jeune immature dans une jarre (B1). Le quatrième correspond à des céramiques globulaires qui contiennent des restes osseux humains incinérés. Ces dernières sont fermées par une écuelle utilisée en guise de couvercle et sur laquelle une pierre est déposée. Des fosses circulaires ont livré quelques restes osseux humains et une grande quantité de charbons, et pourraient représenter des fosses contenant les restes des bûchers funéraires.

Fig.2 : Échantillonnage de bois moderne pendant une mission de terrain autour du site archéologique (E. Puech)
Fig.2 : Échantillonnage de bois moderne pendant une mission de terrain autour du site archéologique.

Mobilier funéraire

Le mobilier funéraire est présent dans presque la totalité des sépultures à inhumations de HL29-1/2, seules 2 sépultures n’en ont pas fourni, mais elles sont soit perturbées soit partiellement fouillées. Parmi les 35 sépultures observables, 26 comportaient de la céramique soit 74 %, et un total de 142 pots et 29 couvercles ont été retrouvés. Leur nombre varie entre 1 et 32. Les céramiques sont déposées selon deux configurations principales vis-à-vis du défunt ; au niveau des membres inférieurs dans 14 cas (soit 67 % des cas observables) et le long et sur le corps dans 7 cas.

 Les éléments de parures sont aussi bien représentés, ils sont composés de perles retrouvées dans 26 des 35 sépultures soit dans 74 % et retrouvées dans un nombre variant entre 1 et 636 avec une moyenne de 145. Elles sont composées de pierres dures, une seule sépulture, B1, a livré des perles en verre. Elles sont situées à des endroits variés, dont au niveau de la tête, du cou, du thorax et de l’abdomen. 8 sépultures ont livré des bracelets en pierre polie portés aux poignets, soit dans 23 % des inhumations. Deux bracelets retrouvés auprès de deux individus immatures étaient fracturés. Ils ont tous deux fait l’objet d’une réparation qui consiste au percement des parties brisées afin de permettre le passage d’un lien. Les autres objets de parures sont bien plus rares, des bracelets en matière dure animale et en alliage de cuivre ont été retrouvés portés respectivement dans 2 sépultures. Le reste des objets funéraires comprend des valves de larges bivalves retrouvées dans 12 inhumations (soit 34 %), des restes animaux (côtes et dents de probables bovinés) ont été observés dans 5 sépultures (soit 14 %). 2 haches en bronze et 2 fusaïoles ont été retrouvées respectivement dans 2 sépultures (soit 4 %). Une sépulture (B39) a fourni un ensemble remarquable d’outils en pierre polie et de probables chutes de production de bracelets en pierre polie.

Phasage

Les pratiques funéraires, le mobilier funéraire et sa disposition dans les tombes, l’orientation et la profondeur des sépultures ont permis de former une sériation des inhumations.  Trois ensembles se distinguent.

Ensemble 1

Il comprend 12 inhumations caractérisées par un mobilier céramique déposé à des endroits variés autour et sur le squelette et dans un nombre compris entre deux et 34 individus céramiques avec une moyenne de 11. Une morphologie céramique particulière a été découverte dans 2 des sépultures de cet ensemble et correspond à un « vase à distillation » [12]. La présence de bracelets en pierre polie est non systématique ; 4 d’entre elles en comportent soit environ 33 % de l’ensemble. Leur présence dans les assemblages distingue certaines sépultures et pourrait correspondre à un marqueur de statut social. Les perles sont moins rares ; 8 sépultures en comportent soit 67 %, dans un nombre compris entre 7 et 355 avec une moyenne de 110. La sépulture B12 correspondant à l’inhumation d’un immature représente une sépulture particulièrement riche pour l’ensemble malgré sa fouille partielle. Le jeune défunt, accompagné de 14 céramiques, portait à son bras droit un bracelet en pierre polie, des bracelets en alliage de cuivre et des perles.

Ensemble 2

Il est constitué de 11 sépultures. Cet ensemble est principalement caractérisé par un dépôt de céramiques placées exclusivement au niveau des membres inférieurs. Les céramiques sont placées dans un nombre compris entre 1 et 12 avec une moyenne de 4 par sépultures. Comme pour l’ensemble 1 des différences de richesses liées à la variété et au nombre de mobilier funéraire peuvent être observées. 3 sépultures se distinguent par la présence de bracelets en pierre polie qui dans deux sépultures d’adultes B30 et B32 sont d’une qualité exceptionnelle et sont retrouvés en association avec une hache en bronze de morphologie particulière en demi-lune.

Fig.3 : Bracelet en pierre polie retrouvé porté dans la sépulture B30
Fig.3 : Bracelet en pierre polie retrouvé porté dans la sépulture B30.

La troisième sépulture concerne un enfant qui dispose lui aussi d’un bracelet en pierre polie, de moindre qualité, mais aussi de bracelet en matière dure animale. Les perles sont retrouvées plus fréquemment et en plus grand nombre que dans l’ensemble précédent, 10 sépultures en comportent soit presque la totalité des inhumés et sont dans un nombre compris entre 1 et 636 avec une moyenne de 219. 2 sépultures de ce groupe comportent des fusaïoles.

Cet ensemble comprend également 3 dépôts de céramiques placées éloignés des corps. Ils sont composés de 2 céramiques chacune fermée par un couvercle. Il nous est difficile de dire à quoi correspondent ces dépôts : offrande alimentaire ? Inhumation des objets ayant servi aux funérailles ou des objets liés à des rites commémoratifs ?

Ensemble indéterminé

Parmi les sépultures à inhumations découvertes dans la nécropole de HL29-1/2, 13 n’ont pas pu être classés au sein des deux ensembles distingués plus haut, dans onze cas du fait de l’absence de mobilier funéraire, ou bien d’un mobilier funéraire non spécifique, et d’un mode de dépôt qui est non discriminant. Dans deux cas, le caractère spécifique de ces inhumations, B1 inhumation en jarre d’un très jeune enfant et pour B2 une orientation unique dans le site, corrélée à une faible profondeur de ces inhumations pourrait indiquer un ou des épisodes d’inhumations plus récents et qui dans l’état actuel de nos recherches reste difficilement individualisables.

Les crémations

La nécropole de HL29-1/2 semble avoir été utilisée comme nécropole au cours de plusieurs périodes. L’une d’entre elles se distingue aisément par la pratique de la crémation. Elle se caractérise par le dépôt d’urnes cinéraires et la présence des fosses interprétées comme contenant des restes de bûcher.

Synthèse et discussion 

Les fouilles conduites en 2017 et 2018 de la nécropole de HL29-1 et 2 ont permis la mise en évidence de trois ensembles. Ce site à la durée d’utilisation longue permet d’effectuer un premier essai de chronologie relative des pratiques funéraires rencontrées.

Les inhumations des ensembles 1 et 2 présentent des points communs avec celles du site de Nyaung’gan, situé à environ 80 km à l’ouest. L’absence de mobilier en fer et le mobilier sur base cuivre de l’ensemble 2 est typologiquement semblable au matériel retrouvé à Nyaung’gan [13], l’abondance des céramiques et la présence de « vase à distillation » dans les sépultures de l’ensemble 1 le sont également. L’absence notable d’inhumations de jeunes enfants et la sous-représentation globale des enfants au sein de la nécropole (5 enfants pour 35 adultes) sont aussi un autre point commun entre les deux sites [5]. L’absence de superpositions et de recoupements d’inhumations véritablement informatifs entre les deux ensembles nous privent, en l’état actuel de nos connaissances, de distinguer une différence chronologique entre les deux ensembles.

La présence hypothétique d’une phase de sépultures à inhumations récentes caractérisée par une sépulture en jarre d’un très jeune enfant, de même que des sépultures d’adultes est plus difficile à contextualiser du fait en grande partie de l’absence de mobilier. La sobriété du mobilier et la présence de verre, et l’orientation nord-sud des inhumations sont des traits qui ont été observés dans la nécropole de l’Âge du Fer de Ywa Htin, située à 240 km au sud, dans la vallée de la Samon [7]. La présence d’une jarre renfermant hypothétiquement un immature permet d’effectuer un parallèle entre les deux sites.

Les sépultures à crémations découvertes à HL29-1/2 qui représentent la phase d’utilisation la plus tardive de la nécropole, sont caractérisées par des panses globulaires, ce qui les distingue des urnes retrouvées en contexte funéraire Pyu qui ont une forme généralement cylindrique. Mais il existe aussi quelques exemples de céramiques à panse globulaire en contexte Pyu, à Halin, dans les sites HL5 et HL12 [14], à Beikthano dans les sites BTO 33 et BTO 34 et à Sri Ksetra. Cette différence dans la typologie des urnes pourrait trouver une explication dans un écart chronologique [15]. La présence de fosses associés contenant les probables restes du bûcher est en revanche inédite dans la région centrale du Myanmar.

L’absence de mobilier en fer et de parure en verre au sein des deux ensembles de sépultures à inhumations, de même que la présence d’armes sur base cuivre ainsi que le dépôt de nombreuses céramiques démontrent, en l’absence de datations radiocarbones, qu’une partie au moins de la nécropole de HL29 a fonctionné au cours de l’Âge du Bronze et est potentiellement contemporaine de la nécropole de Nyaung’gan. Au contraire, la présence de perles en verre dans la sépulture en jarre B1 semble indiquer qu’une phase plus récente d’inhumation a eu lieu potentiellement au cours de l’Âge du Fer. Tandis que la pratique de la crémation indique que la vocation sépulcrale de la nécropole HL29-1/2 s’est poursuivie au cours de la période historique.

Conclusion

Cette étude conduite sur la nécropole de HL29 a permis de décrire des inhumations de l’Âge du Bronze jusqu’à la période historique. Elle permet d’établir un premier lien entre le site de Halin et les cultures de la vallée de la Chindwin représentées par les sites de Nyaung’gan et de l’Âge du Fer de la vallée de la Samon et jusqu’à l’apparition de l’État au Myanmar. Ces résultats font de la nécropole de HL29 un site clé pour l’étude de l’évolution diachronique des pratiques funéraires du centre du Myanmar et renforcent le rôle majeur de Halin dans le paysage archéologique de la région.

Remerciements

Nous remercions le Directeur général de l’archéologie du Myanmar, U Kyaw Oo Lwin, qui a rendu cette recherche possible, nous remercions l’ambassade de France à Yangon et l’Institut français pour leur soutien sur place. Cette recherche a fait l’objet d’une aide financière par la Fondation Martine Aublet (Paris, France).

Références

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[2] Higham CFW, Higham TFG, Kijngam A. Cutting a Gordian Knot: the Bronze Age of Southeast Asia: origins, timing and impact. Antiquity juin 2011; vol. 85: p.328.

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[4] Proceedings of the Workshop on Bronze Age Culture in Myanmar (Yangon, 7 January 1999). Universities Historical Research Centre; 1999.

[5] Tayles N, Domett K, U Pauk Pauk.  Bronze Age Myanmar (Burma): a report on the people from the cemetery of Nyaunggan, Upper Myanmar. Antiquity Juin 2001; vol. 75, no 288: pp. 273‑278. doi: 10.1017/S0003598X00060907.

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[7] Pautreau JP (ed), Ywa Htin: Iron Age burials in the Samon Valley, Upper Burma. Siam Ratana Limited; 2007.

[8] Pautreau JP, Coupey AS, Kyaw AA. (ed). Excavations in the Samon Valley, Iron Age Burials in Myanmar. Chiang Mai, Thaïlande: Siam Ratana Limited; 2010.

[9] Pryce TO, al. A first absolute chronology for Late Neolithic to Early Bronze Age Myanmar: new AMS 14C dates from Nyaung’gan and Oakaie.  Antiquity Juin 2018; vol. 92, no 363. doi: 10.15184/aqy.2018.66.

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[13] Phyo Kyaw P.  Bronze Age Context of HL29 at Halin. Journal of Myanmar Academy of Arts and Science 2011; vol. 11, no 8.

[14] U Myint Aung.  Research on Ancient Halin; 2007 (en birman, résumé en anglais).

[15] Stargardt J. The Ancient Pyu of Burma. Early Pyu Cities in a Man-Made Landscape. vol. 1. Cambridge: PACSEA Cambridge and ISEAS Singapore; 1990.

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