Technologie céramique et caractérisation culturelle des groupes de la Sierra Nevada de Santa Marta : l’exemple des provinces préhispaniques de Betoma et Tairona.

Ceramic technology and cultural characterization of groups in the Sierra Nevada de Santa Marta: the example of the pre-Hispanic provinces of Betoma and Tairona.

RESUME / ABSTRACT

L'aire Tairona, située sur les versants nord et ouest du massif côtier de la Sierra Nevada de Santa Marta, sur la côte Caraïbe colombienne, correspond au territoire traditionnellement attribué à la culture appelée « Tairona », qui s’est développée entre 1100 et 1600 apr. J.-C. Malgré les études archéologiques menées depuis la première moitié du XXe siècle, la nature et la composition culturelle des groupes rattachés à cette culture et à ce territoire, décrit comme morcelé en plusieurs provinces, sont encore mal appréhendées. Cet article a pour but de présenter les résultats préliminaires d’une recherche doctorale qui s’inscrit dans ces problématiques, en proposant une étude technologique des céramiques issues de deux provinces de l’Aire Tairona, celle de Tairona et celle de Betoma, dans le but d’identifier la composition culturelle de la région via l’analyse des traditions potières.

The Tairona area, located on the nothern and western sides of the Sierra Nevada de Santa Marta coastal massif on the Colombian Caribbean coasr, corresponds to the territory traditionally atributed to the so-called « Tairona » culture, which developed bteween 1100 and 1600 AD. Despite the archaeological studies carried out since the first half of the 20th century, the nature and cultural composition of the groups attached to this culture and to this territory, described as divided into several provinces, are still poorly understood. The aim oh this article is to present the preliminary results of a doctoral research project that is in line with these issues, proposing a technological study of ceramics from two provinces of the Tairona Area, Tairona and Betoma, with the objective of identifying the culture composition of the region through the analysis of pottery traditions.

TEXTE INTEGRAL

Introduction

La sierra Nevada de Santa Marta est un massif côtier situé sur la côte caraïbe colombienne (fig. 1). Elle est le berceau de la culture traditionnellement appelée « Tairona », qui s’est développée sur ses versants nord et ouest entre 1100 et 1600 apr. J.-C. La première utilisation du terme « Tairona » pour désigner cette culture apparaît dans les ouvrages du chroniqueur Antonio de Herrera, qui n’a pourtant jamais été au contact de ces populations. Ses chroniques s’appuyaient sur des manuscrits et rapports issus d’archives espagnoles [1]. Tout au long du XVIe siècle et jusqu’à nos jours, l’emploi du mot « Tairona » a largement évolué, passant de l’appellation d’une vallée du versant nord de la sierra Nevada de Santa Marta, à celle des populations de cette vallée, puis à celle d’une « province » désignée par les Espagnols, pour finir par nommer l’ensemble des peuples de ce qui est aujourd’hui appelé « l’aire Tairona ». Il correspond également au nom d’une langue, ainsi qu’à la période préhispanique la plus tardive de l’aire éponyme, la « période Tairona ». Ceci peut, en partie, expliquer la confusion qui règne toujours lorsqu’il est question de la composition culturelle des populations de cette vaste région à la période précolombienne. En effet, malgré la recherche en cours depuis les années 1920 sur la sierra Nevada de Santa Marta sous l’angle des aspects visibles de la culture matérielle, la nature et la composition culturelle des groupes qui la peuplaient à la période préhispanique sont encore mal connues.

          Pour cette raison, nous avons décidé d’étudier l’aire Tairona avec une approche encore originale, celle des productions potières et de la technologie céramique. L’objectif est d’essayer d’identifier sa composition sociologique et ses frontières à l’époque Tairona (1000/1100 – 1600 apr. J.-C.), ainsi que leur évolution. Cet article présente les résultats préliminaires de notre étude.

Fig 1 : Localisation des sites de Chengue, Pueblito et Ciudad Perdida dans l'Aire Tairona en Colombie
Fig 1 : Localisation des sites de Chengue, Pueblito et Ciudad Perdida dans l'Aire Tairona en Colombie

Contextualisation et problématique de l’étude

Durant la première moitié du XVIème siècle, l’Aire Tairona était décrite comme composée de plusieurs provinces, plus ou moins liées, en constantes interactions (fig. 2). D’après Reichel-Dolmatoff, les provinces de Betoma et de Tairona et, dans une moindre mesure, del Carbón, étaient dépeintes comme peuplées de groupes de même appartenance culturelle et qui se distinguaient de ceux issus des autres provinces. Les mêmes chroniques indiquent des différences culturelles entre les populations de la côte et les populations de la sierra, qui arrêtent d’être mentionnées à partir de la fondation de la ville de Santa Marta en 1525 [1]. Avec le temps, ces différentes provinces sont effacées, au profit de la description d’une aire Tairona, regroupant les peuples des versants nord et ouest de la sierra Nevada de Santa Marta, de la côte aux hauteurs du massif.

Fig 2 :  Localisation de la province de Tairona selon les chroniques, d'après Reichel-Dolmatoff (1953)
Fig 2 :  Localisation de la province de Tairona selon les chroniques, d'après Reichel-Dolmatoff (1953)

D’un point de vue archéologique, la sierra Nevada de Santa Marta et ses populations sont encore mal connues. John Alden Mason est le premier à y avoir réalisé des fouilles archéologiques, dans les années 1920 [2, 3]. Après lui, plusieurs archéologues se sont intéressés à cette aire et ont travaillé sur quelques sites seulement : Ciudad Perdida, Pueblito, Chengue, par exemple. Bien que ces chercheurs se soient penchées sur la compréhension de l’organisation politique des populations de la zone, peu d’entre elles ont porté sur l’appartenance culturelle des populations « Taironas ». L’étude technologique des céramiques de la région, devrait nous permettre de mieux appréhender l’identité culturelle des groupes qui l’ont peuplée à l’époque préhispanique.

La technologie céramique appliquée à l’aire Tairona, premiers résultats

Notre méthodologie repose sur le concept de chaîne opératoire [4], sur la relation entre traditions techniques et groupes sociaux, ainsi que sur la possibilité d’identifier des traditions céramiques à partir d’assemblages archéologiques [5]. En effet, l'ensemble des étapes de la chaîne opératoire céramique peut être restituée, à partir d’une analyse d’attributs diagnostiques observables sur les surfaces et tranches des récipients aux échelles macro-, méso- et microscopique. Cette approche permet ainsi de définir des traditions techniques qui sont l'expression de groupes sociaux.

          Dans le cadre de cette étude, nous avons choisi de nous focaliser en premier lieu sur les sites de Ciudad Perdida, de Pueblito et de Chengue (fig. 1), fouillés dans les années 2000, aux contextes bien documentés [6, 7] et aux céramiques conservées à l’Instituto Nacional de Antropología e Historia (ICANH) à Bogotá.

Le site de Ciudad Perdida

          Ciudad Perdida, aussi appelé Buritaca-200, est considéré comme le centre politique et cérémoniel de référence pour l’aire Tairona. Il est constitué d’un ensemble de terrasses, chemins et escaliers de pierres qui délimitent plusieurs secteurs et mènent vers le plus important, appelé secteur central. Le centre urbain s’étend ainsi sur une surface de 33 hectares environs [6], mais de nombreuses autres structures sont retrouvées à ses alentours. Nous nous sommes concentrés sur le secteur nord, La Gallera, qui présente les traces d’occupation les plus anciennes, et sur le secteur central, dont le corpus a été mis au jour par Santiago Giraldo dans les années 2000 [6]. Ce dernier y a mené plusieurs fouilles, en effectuant des sondages - environ deux mètres sur deux - sur de nombreuses terrasses considérées comme des habitations. Le nombre total de céramiques étudiées pour la période Tairona, qui proviennent toutes de contextes domestiques, est de 5749 tessons. Le corpus, composé de poteries aux fonctions variées (domestiques et visiblement cérémonielles), extrêmement fragmenté et parfois érodé, n’a pas permis la lecture technologique de l’ensemble de ces tessons dont quelques-uns sont restés non identifiés tandis qu’une bonne partie, par comparaison, a été associée aux groupes techniques leurs correspondants. Nous avons enregistré 682 tessons et relevé leurs traces diagnostiques.

          L’étude de ces céramiques a permis de différencier sept groupes techniques, qui correspondent à sept chaînes opératoires identifiées. Cinq d’entre eux présentent les mêmes techniques d’ébauchage, de préformage et de finitions (fig. 3), avec des variations qui s’observent au niveau des traitements de surface effectués. Pour ces cinq groupes, la technique employée pour l’ébauchage des poteries est la technique du colombin par écrasement, posé en biseau (fig. 3, Co1 et Co2). Les traits diagnostiques qui permettent de mettre en avant l’utilisation de cette technique sont la présence de surépaisseurs, de fissures correspondant à la jonction entre deux colombins et d’ondulations horizontales sur les surfaces [8 : fig. 59]. En section radiale, la présence de fissures obliques et l’organisation oblique des porosités permet de mettre en avant la présence d’éléments assemblés en biseau [9 : fig. III.1].

          Le préformage est effectué à la main, par pressions discontinues (fig. 3, De), comme le montrent les dépressions digitales visibles le long de la jonction entre deux éléments assemblés [10 : fig. 33].

          La céramique préformée est ensuite lissée de manière multidirectionnelle avec un objet souple, alors que la pâte est encore humide (fig. 3, Li et LiBr). Ce lissage sur pâte humide est caractérisé par la présence de stries fines et filetées [10 : fig. 40-41], ici multidirectionnelles, ainsi que par une microtopographie irrégulière à grains saillants, parfois partiellement recouverts.

          À partir de l’étape du traitement de surface, on trouve cinq variantes de cette chaîne opératoire : les céramiques sans traitement de surface, celles à la face externe brunies (fig. 3, LiBr), celles à la face externe engobée et brunie, celles à la face externe engobée et brunie et à la face interne brunie, et enfin celles engobées et brunies sur les deux faces. Il faut noter que sur plusieurs tessons correspondant à des poteries utilitaires, le brunissage semble avoir été effectué sur des céramiques à l’état cuir mais présentant un degré d’hygrométrie encore élevé, ce qui a laissé des surépaisseurs importantes et extrêmement visibles sur les surfaces (fig. 3, Br).

Fig 3 : Exemple de traits diagnostiques pour les chaînes opératoires 1 à 5
Fig 3 : Exemple de traits diagnostiques pour les chaînes opératoires 1 à 5

Pour les deux autres groupes techniques, la méthode de façonnage n’est pas encore identifiée en raison du faible nombre de tessons concernés (deux ou trois tessons par technique) et de leurs dimensions. Le premier groupe rassemble les tessons présentant en face interne des cupules, indiquant l’utilisation d’un contre-battoir sur la surface interne des tessons [11 : fig. 5.7], une alternance de zones compactes à grains insérés avec des zones irrégulières ainsi que des micro-arrachements visibles en surface (fig. 4, Batt). Ces différents traits sont caractéristiques d’une mise en forme par battage, sur pâte humide. Le second groupe rassemble les tessons présentant en face interne des traces de raclage : elles sont caractérisées par la présence de coups d’arrêts liés à l’usage d’un racloir et de stries profondes aux bords irréguliers, certainement crées par des inclusions grossières traînées lors de la mise en forme par pressions discontinues [10 : fig. 15], ainsi que par une microtopographie irrégulière à grains saillants, témoignant d’un travail sur pâte humide (fig. 4, Racl).

Fig 4 : Exemple de traits diagnostiques pour les chaînes opératoires 6 et 7
Fig 4 : Exemple de traits diagnostiques pour les chaînes opératoires 6 et 7

La très grande majorité des tessons étudiés appartiennent aux cinq premiers groupes techniques, avec une même manière de faire pour les premières étapes de la chaîne opératoire et des variations au niveau des traitements de surface, qui semblent liées à des différences de forme et d’usage des poteries, c’est-à-dire à des facteurs fonctionnels. La faible quantité de tessons appartenant aux deux derniers groupes suggère une provenance exogène, ce que soutient par ailleurs la composition des pâtes différentes de celles des autres tessons étudiés. Ainsi, les poteries de Ciudad Perdida témoignent d’une production réalisée selon une même tradition.

Les sites de Chengue et de Pueblito

En ce qui concerne le reste de l’aire Tairona, l’étude entamée en 2020 n’a pas encore été finalisée, mais des premières hypothèses peuvent être évoquées.

Pour le site de Chengue, nous nous sommes concentrés sur les fouilles effectuées par Alejandro Dever, qui correspondent à des sondages de deux mètres carrés [7]. Nous avons étudié les sondages X8 et X9, de respectivement 40 et 160 cm de profondeur.  Chengue est un site considéré comme secondaire, visiblement spécialisé dans l’exploitation de sel à la période Tairona. Il est constitué de deux secteurs. Nous y avons étudié 1308 tessons provenant de contextes domestiques. Le site de Pueblito est considéré comme un centre, à l’image de Ciuad Perdida. Nous avons étudié les tessons mis au jour par Santiago Giraldo lors de sondages de deux mètres carrés (fig. 5), effectués dans le cadre de sa recherche doctorale [6]. Nous y avons étudié 2072 tessons.

Sur les deux sites, nos observations semblent confirmer des chaînes opératoires similaires à celles de Ciudad Perdida, avec notamment l’ébauchage selon la technique du colombinage, le préformage par pressions discontinues et des traitements de surfaces similaires avec cinq variantes qui se déclinent selon les catégories fonctionnelles. Notons également la pratique d’un brunissage sur pâte à consistance atypique comme celui évoqué précédemment. Pour le site de Pueblito, l’emploi du raclage a été identifié sur un tesson. Aucune trace de battage n’a été identifiée à ce jour.

Fig 5 : Exemple de sondages effectué par Santiago Giraldo sur le site de Pueblito :  profils Est et Nord de l’Unité 3, d’après Giraldo (2010)
Fig 5 : Exemple de sondages effectué par Santiago Giraldo sur le site de Pueblito :  profils Est et Nord de l’Unité 3, d’après Giraldo (2010)

Conclusion

D’après les résultats préliminaires de notre étude technologique, il semblerait que les potiers producteurs des céramiques retrouvées à Ciudad Perdida, centre de sierra, Chengue, site secondaire côtier et Pueblito, centre côtier à l’époque Tairona partagent la même tradition technique et appartiendraient donc à la même communauté ou tradition potière, ce qui semble infirmer l’idée que des groupes culturels différents peuplaient la côte et la sierra à la période de la conquête, comme cela a été décrit par certains chroniqueurs. Cependant, ces trois sites se situent dans les anciennes provinces de Betoma et de Tairona telles que décrites par les Espagnols, pour lesquelles ces derniers avaient fait mention de similitudes culturelles comme nous l’avons évoqué précédemment.

L’emploi du conditionnel tient au fait que ces résultats ne sont que préliminaires, l’étude pétrographique nécessaire au bon déroulement de l’analyse technologique n’ayant pas encore été effectuée et le matériel des sites de Chengue et Pueblito n’étant que partiellement analysé. Cependant, les observations effectuées semblent très clairement démontrer cette hypothèse. Par ailleurs, les résultats de l’étude technologique devront être confrontés à l’étude des autres aspects de la culture matérielle de la région.

Il apparaît maintenant nécessaire pour la compréhension de la région dans son ensemble de se concentrer sur l’étude de sites localisés hors de ces provinces, afin de vérifier si celles pour lesquelles il n’existe pas de témoignage et celles décrites comme peuplées par des populations issues de groupes culturels différents présentent des similitudes avec Betoma et Tairona, ce qui devrait permettre de comprendre la composition culturelle de l’ensemble de l’Aire Tairona.

Remerciements

Nous tenons particulièrement à remercier la Fondation Martine Aublet et l’Institut Français d’Etudes Andines pour leur soutien à la réalisation de cette investigation., ainsi que l’ICANH pour sa collaboration depuis maintenant de nombreuses années. Merci également à Santiago Giraldo pour son aide et l’autorisation d’utilisation de ses images.

Références bibliographiques

[1] Reichel-Dolmatoff G. Contactos y cambios culturales en la Sierra Nevada de Santa Marta. Bogotá : Revista Colombiana de Antropología 1953 ; N°1 : pp. 17-122.

 [2] Mason J.A. Archaeology of Santa Marta, Colombia; the Tairona Culture. Part I, Chicago : Field Museum Press ; 1931.

[3] Mason J.A. and D. Horton. Archaeology of Santa Marta, Colombia; the Tairona Culture. Part II, Chicago : Field Museum Press ; 1939.

[4] Cresswell, R. Techniques et culture : les bases d’un programme de travail. Techniques & Culture 1976 ; N°1 : pp. 7 – 59.

[5] Roux V. Des céramiques et des Hommes. Décoder les assemblages archéologiques. Nanterre : Presses Universitaires de Paris Ouest ; 2016.

[6] Giraldo S. Lords of the Snowy Ranges : Politics, place and Landscape transformation in two tairona towns in the Sierra Nevada de Santa Marta, Colombia. Thèse de Doctorat., Chicago : University of Chicago ; 2010.

[7] Dever A. Social and economic development of a specialized community in Chengue, Parque Tairona, Colombia. Thèse de Doctorat, Pittsburgh : University of Pittsburgh ; 2007.

[8] Ard V. Produire et échanger au Néolithique. Traditions céramiques entre Loire et Gironde au IVe millénaire. Lassay-les-Châteaux : Éditions du comité des travaux historiques et scientifiques. ; 2014.

[9] Baldi JS. Aux portes de la Cité : systèmes céramiques et organisation sociale en Mésopotamie du Nord aux 5ème et 4ème millénaires. Thèse de Doctorat, Paris : Université Paris 1 – Panthéon Sorbonne ; 2015.

[10] Manem S. Les Fondements technologiques de la culture des Duffaits (âge du Bronze Moyen). Thèse de Doctorat, Nanterre : Université Paris X – Nanterre ; 2008.

[11] Lara C. Traditions céramiques et occupation précolombienne du piémont oriental des Andes Equatoriennes : le cas de la vallée du fleuve Cuyes. Thèse de doctorat, Nanterre : Université Paris X – Nanterre ; 2016.

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